Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L’Épouse Hypersexuelle (12) : Philippe A Enfin Sa Soirée Candauliste

J’ignorais alors que Rachid tenait régulièrement informé Philippe de mes «progrès». Il était particulièrement fier de ma docilité, en particulier lors de ce samedi où j’avais accepté de m’exhiber comme une prostituée, avant que nous finissions par un trio avec la belle Rita. Honnêtement ça avait été plus dur pour moi quand Rachid m’avait offert à Georges, mais cette après-midi m’avait finalement donné aussi beaucoup de plaisir.
Nos rites avec Philippe
J’insistais beaucoup pour que Philippe reçoive sa « récompense », ce qu’il attendait tant : me voir jouir sous les caresses et les coups de boutoir de Rachid. Jusqu’à présent, il avait dû se contenter de ce qu’il avait entendu au téléphone le premier jour, quand Rachid m’avait prise dans l’ascenseur de notre immeuble. Chaque soir, il pouvait constater les traces de mes ébats du jour. C’était un rituel entre nous. Je l’attendais dans le lit conjugal, où je l’avais abondamment « trompé » avec Rachid. J’étais nue, le visage marqué par le plaisir, la chatte et l’anus débordants de sperme, mais j’en avais aussi sur le visage, les cheveux, les seins, les fesses. Notre rituel était que Philippe devait me nettoyer soigneusement en me léchant, en buvant le mélange de cyprine et de sperme qui coulait de mon vagin. Au vu de son érection, je savais combien il aimait ça. Quelquefois, je lui demandais de me fister immédiatement, ma chatte si bien lubrifiée et habituée désormais aux gros calibres appréciait tout particulièrement cette pratique brutale. Personne ne fait cela mieux que mon Philippe. Pendant ces pratiques, je l’excitais encore davantage avec les mots.
Soit je lui disais tout mon amour :
• Oh mon Philippe, je t’adore. J’aime tant quand tu m’embrasses, me caresses. J’aime tes mains sur mon corps. J’ai besoin de ta tendresse après m’être faite baisée comme une salope toute la journée. Merci de m’avoir poussé à être libre. Je suis l’épouse la plus heureuse du monde. Merci de vouloir mon plaisir et mon bonheur.


Je l’encourageais à me lécher et à me fister :
• Oh oui mon chéri, nettoie bien ma chatte, bois la semence de mon mâle. Tu aimes le sperme, petit pédé !
• Oh Philippe, vas y, mets ta main bien profond dans ce vagin où se vide mon mâle. Oui, bien au fond. Tu me tues !
Et bien souvent, je le dominais, le traitant de cocu, de pédale, lui promettant que Rachid lui casserait le cul.
Je le finissais, soit en le sodomisant avec un gode ceinture, soit en le pompant. Nous prenions ensuite une douche ensemble, où il me caressait encore, me lavait, puis me faisait un massage. Epuisée par mes débauches quotidiennes, je m’endormais comme un bébé, nue, dans ses bras. Mon premier rituel du matin était de pratiquer sur lui une fellation et Philippe adorait ça.
Philippe bénéficiait de mes récits, des comptes-rendus de Georges et de Rachid. Il voulait en savoir le plus possible. Il était allé jusqu’à aborder Rita et monter avec elle, pour qu’elle lui raconte le trio de ce fameux samedi soir et nos ébats lesbiens. Ils avaient fini par faire l’amour et pendant que Philippe baisait Rita il lui parlait de moi, lui disait qu’il aurait tant aimé nous voir nous aimer devant lui. Le comble était qu’alors que Philippe m’accordait une totale liberté, je ne pouvais m’empêcher d’être jalouse qu’il ait fait l’amour avec une autre femme, qui était ma maîtresse du moment et ce sans mon autorisation préalable. Et ce d’autant plus que Rita m’avoua qu’il « n’était pas un si mauvais amant que ça » et qu’il l’avait faite jouir. Voyant que j’étais furieuse, elle se justifia en disant que c’était un client comme un autre, puis elle tenta de me calmer en me disant que Philippe était fou de moi et n’avait qu’une seule chose en tête : mon plaisir. Cela ne m’a empêché de faire le soir même une terrible scène à Philippe. Il devait comprendre qu’il était à moi, il était ma propriété. Et de toute façon, Rachid mit un veto à ce que Philippe puisse, pour le moment, assister à mes ébats lesbiens avec Rita, car il fallait d’abord que Philippe ait sa séance candauliste avec moi et Rachid.

De même, Rachid refusait formellement que Philippe puisse visionner les séances où il filmait de temps en temps nos parties de jambes en l’air. Rachid se comportait de façon sadique avec Philippe. Je plaidais la cause de mon mari, mais Rachid m’expliquait qu’il fallait le faire languir le plus possible, pour que ce moment qu’il attendait depuis si longtemps soit une récompense et une délivrance pour lui. « Il doit mériter ce grand moment » Le pire était que moi aussi je trouvais du plaisir à cette souffrance imposée à Philippe. J’étais partagée entre mon amour pour lui, mon envie de lui offrir ce qu’il désirait tant, et, en même temps une volonté de le dominer et de l’humilier. En présence de ses amis, de ses collègues de travail, je l’appelais « cocu » et ne cachais pas que j’étais désormais la femme d’un autre homme qui, lui, me donnait du plaisir.
Rachid finit par accorder enfin à Philippe ce qu’il attend depuis si longtemps
Philippe demanda à rencontrer Rachid.
• Eh bien, le cocu, tu n’es pas satisfait ? Ce que tu cherchais à obtenir depuis des années, j’y suis parvenu à la première tentative. Tu avais raison, Olga est aussi belle que chaude. Je vais te dire la vérité : elle m’épuise. Mais tu dois être content : elle n’a jamais autant pris son pied de sa vie.
• Je suis très satisfait et, chaque soir, je constate que tu n’as pas ménagé ta peine pendant la journée pour la satisfaire.
• Je t’avais prévenu qu’elle serait à moi et que j’en ferai ce que je veux. Pas d’objection ?
• Si c’est ce qu’elle veut et du moment qu’elle a du plaisir.
• Je te répète que mon intention est de lui faire découvrir tous les plaisirs. J’ai lu récemment une histoire de Rome, où on parlait de Messaline. Ca te dit quelque chose ?
• Oui, la femme de l’empereur Claude. Impératrice et putain
• Et bien à côté d’Olga, Messaline sera une véritable vierge. Je ferai d’Olga une salope intégrale et toi le plus grand des cocus. Quant à moi, ça me permettra de souffler un peu.
Ce programme te convient ?
• Je voudrai surtout être le témoin de son plaisir, de sa jouissance. C’était convenu entre nous.
• Je voulais que ça se passe à un certain stade de l’éducation d’Olga. Ce stade est atteint. D’autant que je vais ensuite m’installer chez vous et assumer publiquement toutes les obligations du mari. Tu vas commencer par changer le lit. Tu prendras la plus grande taille possible. Ne te réjouis pas trop vite, pas pour toi, mais qu’on aura d’autres partenaires pour s’occuper d’elle.
• Et moi quels seront mes droits ?
• D’abord celui d’assister, je pense que tu en crèves d’envie, sale vicieux. Et je l’autoriserais à te rejoindre quand elle en aura envie. Je sais qu’elle adore te vider les couilles, et que tu fais plutôt bien certaines choses par exemple nettoyer sa chatte après que je l’ai remplie ou encore la fister. Et puis elle a besoin de ta tendresse, de tes baisers, tu es un peu un père de substitution pour Olga. Et enfin, je sais qu’elle est de temps en temps ton mâle. Ca me plait beaucoup car tu passeras à la casserole quand je l’aurais décidé. En attendant, tu auras tout prochainement ce dont tu rêves depuis tant d’années.
• Merci Rachid. Je ferai tout ce que tu souhaites.
Le grand soir
Peu après cette discussion, dont j’ignorais tout à ce moment-là, Rachid me donna le feu vert.
J’informais un matin Philippe que Rachid viendrait diner ce soir et que, enfin, Philippe verrait exaucés tous ses rêves. Je lui interdis de se masturber pendant la journée pour se réserver pour ce soir. De mon côté, même si ça me pesait, nous avions décidé avec Rachid de faire relâche ce jour-là, mais que la nuit serait torride.
Je suis allée chez la coiffeuse, puis chez ma masseuse thaïlandaise, où hélas Agun n’était plus là pour me donner du plaisir, chez mon esthéticienne qui a soigneusement épilé ma chatte, ne laissant qu’un mince triangle autour de ma vulve. J’étais aussi soigneusement maquillée. J’avais aussi fait venir un diner fin du meilleur traiteur de la ville et sorti champagne et vins fins.

Je décidais de porter la fameuse robe de notre mariage, celle que j’avais pour mon premier adultère. J’allais la mettre pour mon adultère permanent. Elle symboliserait mon union de fait avec Rachid, car c’était le soir où Rachid s’installait chez nous et où Philippe m’offrait à lui, avec tous les droits du mari, n’en gardant que le titre.
Philippe avait eu la même idée dans le choix de son costume, car il avait choisi de porter le costume de notre mariage.
• Tu es splendide chérie, encore plus belle que ce fameux jour il y a 4 ans. Ce jour-là, j’avais réservé à mon témoin notre nuit de noces. Aujourd’hui, je t’offre à un autre qui va te faire connaitre tous les plaisirs.
• Je me souviens qu’en mairie, lors de la cérémonie, tu m’avais dispensée de l’obligation de fidélité. Aujourd’hui je te dis merci pour m’avoir montré la voie. Tu n’as pas peur cependant du qu’en dira-t-on, du scandale ? Tu sais que je coucherai avec tous ceux et celles que Rachid me choisira. Ton nom sera synonyme de cocu, Philippe T. Tu es prêt à accepter que je te déshonore ?
• Oui, mon Olga, parce que je t’aime, que je veux que tu aies le maximum de plaisir.
Rachid se décida à arriver. Il était en jeans serré et en blouson.
Sans hésiter, je me précipitais dans ses bras et lui offris mes lèvres, pour un long baiser amoureux. Notre étreinte dura un long moment, les mains de Rachid ostensiblement sur mes fesses, pour marquer sa propriété.
• Oh mon amour, te voilà enfin. Tu m’as manqué. J’ai pris l’habitude que tu sois avec moi chaque jour et que tu me baises. Je te préviens, je suis impatiente. Mais tu n’as pas pris de bagages ?
• Pour quoi faire, j’ai bien l’intention de me faire entretenir ici. Tu nous présentes (Philippe et lui s’était mis d’accord pour faire semblant de ne pas se connaitre) ?
• Philippe, mon mari, Rachid, mon homme.
• Enchanté ! On va se tutoyer comme on est destiné à vivre sous le même toit et que tu auras le droit de toucher ta femme, qui est désormais la mienne. Elle m’a demandé, j’ai donné mon accord sous certaines conditions. Chez nous, quand on est proches, comme des frères, on s’embrasse. Approches-toi !
Philippe et Rachid s’embrassèrent sur les joues. Rachid voulait dès le départ marquer la place de Philippe. Il prit la main de Philippe et la mit sur la bosse qui déformait son pantalon, pendant que son autre main était posée sur les fesses de mon mari. Philippe ne protestait pas. Au contraire, je vis que sa main caressait le sexe de son « rival »
• Tu as vu l’effet que me fait ton épouse ? Je vois que ça t’intéresse, mais ce soir ce n’est pas pour toi. Patience, ton tour viendra !
Rachid et Philippe se mirent assis sur le canapé du salon. Je leur servais à boire et les deux hommes parlaient de moi sans gêne, comme d’une pouliche.
• J’ai toujours choisi les robes d’Olga pour que les hommes puissent mater à l’aise ses seins. Ils sont petits, mais si fermes et si sensibles.
• La première fois, j’ai attaqué en lui caressant les nibards et très vite elle a capitulé, elle n’en pouvait plus.
Les deux hommes passèrent le diner à parler de moi, comme deux vieux complices, de ma façon de sucer, des positions que j’affectionnais, du moindre détail de mon anatomie. Leurs propos m’excitaient. J’avais mis une main dans chacun de leur pantalon et caressais leur verge. A tour de rôle, ils m’embrassaient et me caressaient.
• Philippe tu as su détecter le potentiel d’Olga. Et moi je vais désormais m’employer à le développer. Ses journées vont désormais se passer à jouir encore et encore. A être l’instrument de plaisir de ceux et celles à qui je l’offrirai.
• C’est un programme qui me plait beaucoup. Je pourrai assister à cela ?
• Evidemment, tu en seras spectateur et même acteur. Mais tu dois savoir que, cocufié par tant de gens, tu seras l’objet du mépris général. Ta réputation sera ruinée. Tu acceptes cela ?
• Ma seule préoccupation est son plaisir et son bonheur.
• L’autre jour, quand j’ai offert Olga à Georges, j’ai compris le plaisir que tu pouvais avoir à la voir se faire baiser par un autre. Mais personnellement, je préfère être acteur. Explique-moi un peu plus ton candaulisme et surtout pourquoi tu le pousses aussi loin.
• Il y a d’abord le fait que je ne suis pas capable de lui apporter tout le plaisir que je voudrai lui donner, du fait de la taille de ma verge et de mes tendances à l’éjaculation précoce.
• C’est un problème pour beaucoup de couples, ça ne les conduit pas au candaulisme pour autant.
• Déjà avec mes deux compagnes précédentes, je ressentais ce besoin impérieux de les voir avec un autre. Avec Olga, ça s’est exacerbé car je connaissais son passé hypersexuel, je savais que mon fantasme correspondait à ses besoins.
• Oui, mais pourquoi alors ne pas pratiquer l’échangisme ou le triolisme ?
• Contrairement à l'échangisme et au triolisme, il n'est pas question pour le couple candauliste de partager avec d'autres leur fantasme ou leur plaisir. Leur démarche est égoïste, une recherche de l'absolu, il s'agit d'abord du plaisir des deux uniquement, physique pour la femme, intellectuel pour le mari dont le plaisir est de la voir jouir. Même si, pour le réaliser, ils doivent obligatoirement avoir la présence d'un tiers. Pour revenir à Olga et à moi, personne ne peut nier mon amour absolu, aveugle, pour Olga. L'amour est la condition primordiale aux plaisirs et à la réalisation du Candaulisme.
• C’est vrai. Mais tu acceptes d’être humilié, que les gens te méprisent ?
• J’accepte ce que d'autres prendraient pour une humiliation car, pour moi, l'essentiel est qu'Olga jouisse, qu'elle ait du plaisir, qu'elle soit heureuse.
• Tu as tout fait pour être cocu !
• On peut être cocu sans le savoir. La principale caractéristique du candauliste est qu'il est un cocu qui sait, qui ne considère pas ce qu'il lui arrive comme une infortune, comme une disgrâce ou comme une honte. Il est un cocu qui non seulement sait ce qu'il lui arrive mais qui l'a voulu, qui a tout fait parvenir à ce résultat et qui en tire un grand plaisir.
• Pour avoir un tel fantasme, tu dois quand même être un peu pédé, non ?
• Je ne suis jamais passé à l’acte. J’avoue que je suis excité quand je vois des de mecs en train de baiser, que je suis tenté de sucer une belle queue et que je prends mon pied quand Olga m’encule avec son gode. Mais je pense que ce sont deux fantasmes différents.
• Mes chéris, vos discussions sur la philosophie du candaulisme sont intéressantes, mais vu que nous avons fini de diner, ne peut-on pas passer aux choses concrètes ? J’ai terriblement envie de baiser avec Rachid et mon Philippe attend ce moment depuis si longtemps.
• Oui, femme je sais que tu es impatiente. On va en quelque sorte faire une passation de pouvoir, Philippe va officiellement t’offrir à moi. Philippe lit ce texte que j’ai préparé et confirme-nous ton accord. C’est un « pacte candauliste » que je vous propose
• « Moi Philippe T, confirme que j’offre mon épouse Olga T à Rachid A, qui devient son mâle et peut disposer d’elle comme il l’entend. Rachid se comportera avec elle en époux, il occupera le lit conjugal, sera le seul à se vider en elle, y compris en vue de la féconder. A l’extérieur, en société, c’est Rachid qui apparaîtra comme le véritable mari d’Olga. Rachid s’engage à ce qu’Olga ait le maximum de plaisir. Pour ce faire, il pourra offrir Olga aux hommes et femmes qu’il aura choisis. En contrepartie, Philippe aura le droit d’assister aux ébats de son épouse, et dans les limites, fixées par Rachid, de faire l’amour avec elle »
• Ca vous va ? Alors signez les trois exemplaires et on passe aux choses concrètes, comme dit Olga.
Rachid s’est installé sur le canapé :
• Amène-moi la femme ! A toi l’honneur de la mettre nue
Philippe et moi nous nous sommes longuement embrassés.
• Je t’aime Philippe et je t’aimerai toujours. Je vais faire ce que tu demandes depuis si longtemps.
• Tu me rends heureux, mon amour.
Il fit tomber ma robe, sous laquelle je n’avais ni soutien-gorge, ni culotte. J’étais nue, offerte par mon mari à un autre homme. Philippe me prit par la main et me conduisit vers Rachid.
• Elle est à toi. Fais-la bien jouir !
• Tu peux compter sur moi. Approche, Olga, tu vas déshabiller ton mâle, sortir sa queue et montrer à ton cocu quelle belle salope tu es. Et toi, cocu, interdiction de te branler, on veut te voir gicler rien qu’en nous matant.
Ce jour-là, Rachid avait une chemise que je déboutonnais, pour caresser ses pecs. Les tétons de mon mâle étaient sensibles aux caresses de ma langue. Puis j’ai enlevé ses baskets et ses chaussettes et j’ai commencé à lui embrasser les pieds, à prendre ses orteils dans la bouche. Rachid marquait des signes d’impatience. J’ai alors desserré la ceinture de son jeans et fait descendre le pantalon.
Rachid avait mis un string duquel son gland dépassait, car il avait déjà une formidable érection.
• Philippe, approche, tiens lui les mains dans le dos. Je veux qu’elle descende mon slip avec la bouche et les dents. Qu’elle montre son désir.
• Mon amour, tu es cruel. Je ne peux plus attendre.
• Tu vois Philippe, rien ne lui fait peur quand il s’agit de moi. Mon odeur de mâle la stimule, cette chienne !
Après bien des efforts, avec les dents, en surmontant ma nausée devant l’odeur du sous-vêtement, je réussis à faire descendre le string serré en dessous des couilles de Rachid. Il finit par m’autoriser à le débarrasser du string. A son tour, il était enfin nu. Le nouveau couple était prêt à copuler, en présence du mari qui n’en perdait pas une miette, fasciné.
• On dirait qu’elle te plait ma queue, cocu. Mais aujourd’hui, elle est réservée à ton épouse, à ma femelle.
• J’ai pris les mesures : en érection, elle fait du 22x6.
• J’ai un pote black, Mamadou, qui fait du 30 cms. Il viendra t’empaler devant Philippe.
• Suce-le chérie, j’ai envie de voir ta jolie bouche déformée par ce pieu.
• Pour cette première fois, on a tellement envie qu’on ne va pas s’attarder aux préliminaires. J’ai trop envie de la niquer. Mais, pour te faire plaisir, elle va me la bouffer un peu. Je veux qu’elle soit à bout, qu’elle me supplie pour la saillie.
J’ai commencé par gober les couilles de Rachid.
• Hum, Philippe, elles sont lourdes, bien remplies. Et crois-moi, il reprend vigueur très vite pour me satisfaire toute la nuit.

J’ai ensuite soigneusement léché la hampe, terminant par le gland.

• C’est divin Rachid, quand elle fait ça, n’est-ce pas ?
• Putain, oui, mon cocu, quelle fellatrice ! Ouvre la bouche, Olga !
J’ai commencé la fellation, en serrant les lèvres autour de la hampe puis ma langue tournait autour du gland. Philippe était tout près de nous, nu lui aussi et bandait comme je l’avais rarement vu.
J’aurais aimé qu’il me caresse, me doigte, touche mes seins ou me lèche la chatte. Mais Rachid ne voulait pas. Pour notre première baise en présence de Philippe, il devait être le seul mâle.
Puis Rachid prit ma tête dans ses mains et commença à baiser ma bouche, s’enfonçant jusqu’à ma gorge. Il ne cessait d’accélérer le rythme. Même si je commençais à m’habi à la pratique de la gorge profonde, apprenant à maîtriser ma respiration, je ne pouvais pas tenir aussi longtemps qu’il l’imposait avec sadisme. Les larmes me venaient, la salive coulait de mes lèvres, quelquefois mes nausées provoquaient des vomissements.

• Regarde Philippe ce que je fais de ton Olga. Elle se laisse faire parce qu’elle m’aime et qu’elle sait qu’elle aura sa récompense d’ici peu. Dis-moi juste si sa chatte est humide et ouverte. Mais surtout ne la doigte pas et laisse son clito tranquille !
• Oui, elle est béante et la chatte est trempée. Ta femelle est prête pour être prise, Rachid !
Les deux complices m’ont amené à la chambre, me tenant chacun par la main dans une sorte de rituel. J’ai offert mes lèvres à Philippe, puis à Rachid.
• Mon Philippe, mon homme va me prendre devant toi. Ce dont tu rêves depuis 7 ans va se réaliser. Tu es heureux ?
• Merci mon amour de ce merveilleux cadeau.
Je me suis installée à quatre pattes sur le grand lit, tendant ma croupe à Rachid qui s’était positionné derrière moi, prêt pour le coit.
• Olga, tu as envie que je te baise ?
• Ne demande pas, tu ne vois pas que je suis folle de désir, je n’en peux plus. Mets la moi profond. Je veux que ce soir tu me fasses défaillir de plaisir.
• Et toi, Philippe, que veux-tu ?
• Que tu baises ma femme !
• Dans quelle position veux-tu que je la prenne ?
• Elle s’est positionnée pour une levrette. C’est ce qu’elle préfère, moi avec la taille de ma queue et mes éjaculations précoces, je ne lui donnais pas souvent satisfaction. Avec toi, je sais que ce sera sauvage !
• Prends ma queue et mets-la dans le con de ton épouse. Oui comme ça. Maintenant je vais la niquer.
• Oh oui, il est au fond. J’adore ça me faire prendre par derrière. C’est si bestial, je me sens pleinement femelle ainsi.
• Branle-toi le clito, chérie. Il faut que tu offres tes plus violents orgasmes pour Philippe
• Oh oui mon amour. Philippe mon chéri approche, embrasse ta femme adultère. Tu aimes ça, hein ?
• J’adore, Rachid baise-la bien profond, c’est beau, le plaisir monte sur son visage, elle va avoir un premier orgasme.
• Oh Rachid, je peux prendre Philippe en bouche, j’ai envie de le sucer ?
• Une autre fois, ma cochonne. Tu peux lui tenir la main pendant je te saute.
Les couilles de Rachid frappaient mes fesses et il accélérait encore le rythme. Rachid était particulièrement endurant et il était un amant idéal pour une femme multi-orgasmique comme moi. Quel gémissement de plaisir lorsque je le sentais entrer en moi, se ruer sur mes fesses ....Ses doigts encrés dans mes hanches qui me guidaient d'avant en arrière, ses rugissements accompagnant les miens lorsqu'il butait au plus profond de mon être. Mon premier orgasme fut fulgurant ! J'ai hurlé de plaisir sous ses assauts, les ongles plantés dans le dos de Philippe qui s’était approché pour m’embrasser. Je l’avais labouré avec mes ongles : Philippe porterait les traces du plaisir inouï que je venais de connaitre. Je criais mon bonheur, j’en voulais encore, pour faire jaillir la semence de mon mâle au plus profond de moi.
• Olga, je vais te baiser encore et encore, je veux t’entendre jouir à nouveau, après je te remplirais la chatte de sperme ….
Il me ramone la chatte. Mon vagin est en eaux.
• C’est beau, je suis sur le point de jouir moi aussi, sans m’être branlé, rien qu’en voyant ce que tu as mis à Olga
• Approche toi d’Olga, dirige ta queue vers elle et arrose-la, envoie lui des giclées sur son visage, ses seins, ses cheveux. J’aime quand elle est couverte de sperme.
• Hoooo, Rachid, ta queue me fait jouiiiir, va y décharge moi dans la chatte … c’est booonnn !!! Philippe, mon chéri, merci pour ça. Je t’aimeeeeee Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhh
Alors que le sperme de Philippe m’atteint au visage, mais aussi mes seins et mes cheveux, un autre torrent percute mon conduit de femelle en chaleur. Rachid et moi, nous retombons tous les deux sur le lit, épuisés et heureux. Je fais signe à Philippe de nous rejoindre, de venir dans mes bras. Je suis entre mes deux hommes. Philippe m’embrasse avec tendresse :
• Ma chérie, c’était si beau. Ton visage exprimait en même temps un immense plaisir et une sorte de douleur. J’ai cru que tu avais perdu connaissance
• Oui pendant un instant je suis sentie partir, comme si mon cœur explosait. C’était fort, très fort. Ta présence a décuplé ma jouissance.
• Dites donc les T, faudrait quand même pas oublier celui qui fait le principal en faisant jouir Madame ! Philippe, tu te mets maintenant sur le fauteuil, tu vas en prendre plein les yeux, mais tu n’approches pas et tu ne la touches pas. Tu m’as vu en train de baiser Olga, maintenant tu vas nous voir faire l’amour. Je lui offre du sexe, mais aussi des caresses, des baisers, de la tendresse. C’est ma femelle, je l’aime. N’est-ce pas Olga ? Tu es à qui ?
• A toi, Rachid, seulement à toi !
Cette séance-là devait être bien plus dure pour Philippe, car il pouvait constater l’emprise que Rachid avait désormais sur moi. Il pouvait constater que j’étais insatiable, que je demandais à mon homme de me prendre encore et encore, il voyait avec quel plaisir je me faisais sodomiser, avec quelle ardeur je suçais Rachid jusqu’à ce qu’il se vide dans ma bouche.
Rachid voulait vérifier jusqu’où il pouvait aller et, ni moi, ni Philippe ne marquions de limites. Il voudrait humilier Philippe, montrer à qui j’appartenias désormais.
• Regarde, femme, comme le cocu nous mate. Il est impressionné.
• Par ta queue mon chéri, rien à voir avec son ridicule appendice
• C'est meilleur qu'avec lui ?
• Tu plaisantes ? C'était nul avec lui. Il n'est bon à rien, sauf à se branler en nous matant et bientôt il t’offrira son cul pour que tu l'encules. C'est un pédé et un cocu.
• Cocu, dis-nous à qui est Olga ?
• A toi Rachid !
• Je peux tout faire avec elle ?
• Oui tout.
• Je peux la prêter à qui je veux ?
• Oui, du moment qu’elle a du plaisir
• Et là que veux-tu que je lui fasse ?
• Que tu la baises et ensuite que tu lui casses le cul
• Que penses-tu d'Olga ?
• Que c'est une salope, une chienne, une catin et que je suis son cocu
• Tu sais qu'elle m'aime et que je l'engrosserai un jour ?
• Oui, tu me laisseras mater ?
• Si tu es sage. Regarde comme elle m'embrasse, tu n'existes plus pour elle. Elle est folle de moi! Dans un instant elle va couiner, hurler de plaisir.
Par la suite, je me suis excusée auprès de Philippe. J’avais fait cela sur l’insistance de Rachid.
• Ne t'excuse pas chérie. Ca me plait beaucoup. Ça m'excite.
Philippe est un vrai candauliste qui ne connait pas la jalousie. Il est convaincu que l'égalité entre homme et femme passe par une liberté réciproque dans l'amour et le choix des partenaires. Il accepte qu'un autre se comporte en privé et en public comme le vrai mari, le remplace dans le lit conjugal, remplisse le devoir conjugal, se réserve seul le droit de jouir dans ma chatte, finisse par me féconder.
Et pourtant Philipe est toujours à mes côtés, alors qu'il aurait dû me perdre. Je n'ai jamais voulu, même en étant amoureuse d'un autre, reconstruire avec un autre le lien exclusif que Philippe m'avait tant invitée à transgresser. J'ai toujours refusé le divorce. Pas seulement parce que la présence de Philippe, lors de mes ébats, son regard, son humiliation, m'excite tout particulièrement. La récompense de Philippe, c'est le plaisir qu'il lit dans mes yeux quand je me fais prendre devant lui. Rien ne pourra nous séparer, dans l'équilibre très particulier que nous avons trouvé.
Ce soir-là, Philippe eut une récompense supplémentaire. Rachid, qui voulait souffler, nous a dit :
• Faites l’amour ensemble. A mon tour de mater
• Rachid, je sais que je ne peux me comparer à toi. Je n’ai pas les moyens de la faire jouir de la même façon, surtout après ce que je viens de voir.
• Ca je m’en doute. Mais ça m’intéresse de voir ça. Olga, commence par lui tailler une pipe, je sais que tu meures d’envie de le boire depuis le début de la soirée, gourmande. Mettez-vous en 69, Philippe va nettoyer ta chatte, elle est pleine de mes œuvres.
Je viens me poser en 69 sur lui. Mon minou est juste sous ses yeux.
• Olga, je n’ai jamais vu une telle merveille, ton clitoris gonflé par l’excitation qui ressort si bien des lèvres et ta chatte qui déborde de semence et de cyprine.
• Nettoie-moi bien, bois tout mon chéri, je sais que tu aimes tant ça
Je me remets à l’attaque en s’en prenant à ses couilles que je mets une après l’autre dans la bouche. Tous mes muscles se contractent au rythme de sa bouche, je lui rends la pareille en titillant son sexe avec ma langue. Il enfonce le plus profondément possible sa langue dans mon vagin, aspire mon clitoris. Pendant ce temps je lui suce la bite, continue les va et vient telle une machine. Je pompe son gland, puis descend le long de la queue avec la langue. De son côté, il accentue le rythme en donnant des coups de rein, lorsque je sens que je vais jouir il colle mon sexe à sa langue. Je sens le sperme traversait le canal de toute sa bite d’une extrémité à l’autre ma bouche reçoit alors sa semence et avale.
Philippe me donna ensuite beaucoup de plaisir avec sa science du fist. Par contre, ma chatte et mon cul s’étant habitués au calibre de Rachid, je ne sentais absolument rien quand Philippe tenta de me baiser et de m’enculer. Rachid s’en aperçut et intervient.
• C’est clair que ça ne lui fait rien, avec la taille de ta queue, cocu. Mais ça me donne une idée. Sors de sa chatte, on va lui faire quelque chose de spécial. Olga, mets-toi sur le dos.
Rachid me pénétra, évidemment sans difficultés et je pensais qu’il allait me baiser à nouveau, histoire de montrer à Philippe qui était le mâle.
• Philippe approches, tu peux enlever exceptionnellement la capote, ce sera plus facile et plus agréable. Toi, suce-le un peu, je veux qu’il bande un maximum.
Je m’exécutais avec plaisir, tandis que mes deux hommes me roulaient des pelles et s’occupaient à tour de rôle de mes seins. Nous étions au milieu de la nuit et je baisais sans interruption depuis des heures. Rachid me réservait une apothéose.
• Philippe vient là. Laisse-moi guider ta queue. On va lui mettre deux queues dans la chatte.
• Vous êtes fous, vous allez me déchirez. Non !!!!
• Tais-toi, un jour on le fera avec un autre calibre, équivalent ou supérieur au mien.
Rachid prit en mains la queue de Philippe et la dirigea vers ma chatte où se trouvait déjà sa verge.
Le gland eut du mal à passer. La douleur était terrible, je connus la même sensation plus tard quand j’accouchais. Heureusement, notre pratique régulière du fist-fucking avait préparé ma chatte à ce genre de pratiques. Une fois le gland passé, j’ai eu la sensation d’être remplie comme jamais.
Rachid dirigea le coït. La douleur s’estompait et faisait place à un formidable plaisir, d’autant que mes hommes doigtaient mon cul, suçaient mes tétons, bouffaient mes lèvres. Je ne poussais plus des gémissements ou des cris de plaisir, mais des hurlements. Georges le concierge reçut d’ailleurs des plaintes de voisins le lendemain.
• Oh mes chéris, vous allez me , vous écrasez mon clito, vous déchirez mes chairs, je vous aime. Salauds, baisez-moi ensemble.
• Oh Rachid la sensation de ta queue contre la mienne dans sa chatte, j’adore !
• On aurait dû lui faire arrêter sa contraception, il aurait été intéressant de voir quel spermatozoïde l’aurait fécondé.
• Oh je vais jouir. Vous allez noyer ma chatte ! Ouiiiiiiiiiiiii
Jamais je n’avais reçu dans ma chatte une telle quantité de sperme, avec en plus le fait qu’était mélangé celui de mon mari et celui de mon amant. Quand ils se retirèrent, avec précaution, ma chatte débordait et resta longtemps béante.
Philippe nous laissa ensuite ensemble, Rachid et moi, pour finir cette première nuit. Il entendit encore un moment nos cris de plaisir, avant qu’épuisés nous finissions par nous endormir.
Au matin, je rejoignais Philippe dans son lit et le remerciais, lui dire combien il avait eu raison et combien j’avais été stupide de ne pas l’écouter plus tôt. Et naturellement, ne changeant pas nos habitudes, je commençais ma journée en faisant une douce fellation à mon mari complaisant et amoureux.
(A suivre : Olga et les cousins)



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